Armor + Open ground, the sky is open, makes an open sea

Bien que tu chérisses toutes les liqueurs quelles qu'elles soient, et particulièrement l'alcool de miel qu'est le doux hydromel, tu as une nette préférence pour la boisson plus dur et moins sucrée que ce trouve être la bière pressée avec talent. Tes goûts à ce niveau sont difficilement discutables, car élevé par les lutins, tu t'abreuves de ces liquides qui font tourner les sens depuis ton enfance. • Plus souvent sur la route que dans des auberges, tu aimes voyager dans tout les petits coins de ce beau pays d'Ys. Tes possessions sont sur le dos de ton cheval et seul compagnon de route que tu as fièrement nommé Enbarr. • Lorsque l'on a besoin de quelqu'un pour faire une besogne peu désirée, on peut faire appel à tes services contre bon salaire. Pour te trouver il suffit d'aller là où tout mercenaire peut se rendre le soir, tu signales à l'homme qui tient le bar que tu es présent et il suffit de demander. Tu te trouve toujours dans un coin, attendant la compagnie ou l'occupation qu'on a à te proposer. • Petit, tu es tombé du haut d'un arbre après avoir fait la course avec les autres Jetins à celui qui monte le plus haut. Seulement cette fois-là, tu es tombé et de haut, le pire pour toi c'était que tu n'avais même pas gagné. Alors les Jetins t'ont offert un caillou bleu et poli, tu le gardes précieusement dans ta bourse depuis. • Gwenael et toi échangez parfois des lettres, bien que simplement cordiales, tu les gardes toutes. Il t'en veut d'avoir laisser la confrérie, ce qui te paraît logique, mais il restera toujours un ami précieux. • Curieux, tu t'amuses à manipuler les plantes quand l'envie te prends. Tu essayes de voir lesquelles pourraient faire une bouilli à mettre sur ton épée et lesquelles peuvent te servir en cas de blessures. Tu n'es pas bien doué à cette activité, mais elle t'amuse. • Si tu n'as plus peur de tuer hommes ou femmes depuis la fois où tu as tué deux hommes, tu évites de distribuer inutilement la mort. C'est pourquoi tu te réserves le droit de refuser une requête illégale. • Une fois par an, à la suite du festival d'été, tu rends visite à ceux que tu considères comme ta seule vraie famille. Tu reste avec eux fêter tu ne sais quoi, pour le plaisir de vivre simplement, puis tu repars. Ce petit rituel pour rien au monde tu ne l'arrêterais. • Une fois tu as partagé la couche d'un homme, tu ne voulais pas mourir idiot. De ce fait, aujourd'hui tu es certains d'être hétérosexuel et de n'être attirer que par les femmes. • Jamais tu n'as posé le pied dans une école et tu as tout appris par un vieux druide, alors il est fort possible que tu ignores une bonne partie de l'histoire du pays d'Ys. Tu n'as étudié comme autre langue que la tienne que le Ska et seulement par nécessité.  

pseudo : Antithèse (Big up aux L)  prénom : Marthe. âge : 17 ans. pays : Nortagne. Comment ça c'est pas un pays ?    fréquence de connexion : ça dépend. comment avez-vous découvert le forum ? Le projet sur Bazzart, puis l'autre folle qui m'a dit de venir parce que c'était fini.  vos impressions ? c bo. des questions ? Le mont saint Michel est bien Normand ? le dernier mot : Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais, mais j’aime moins la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez.

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<pr>Ben Barnes</pr> Armor Danserien-noz

Tout est simple quand on se donne la peine d'y croire. Tout étais simple quand tu étais sur cette barque, au milieu de l'eau, à pêcher avec trois Jetins que tu connaissais bien. Vous parliez de tout, des rois et des mendiants, du passé mais pas de l'avenir. Vous parliez beaucoup de jeu, car tu n'avais la tête bonne qu'à  penser à l'amusement. Tu n'avais l'esprit bon qu'au jeu. Tu te fichais de savoir qui était vraiment tes parents, tu avais ta famille dans ce bois, sur ces collines vertes. Tu avais ton maître d'école dans la petite maison de bois que tu voyais depuis ta barque, cet ermite qui t'apprenait, tu en avais l'impression, bien plus que ce que les simples écoliers pouvaient apprendre avec leurs professeurs. Vieux druide délaissé, ami des Korrigans et Jetins, ami des plantes et de l'eau, il t'apprenait tout ce qu'il y avait à en savoir. Toutes les petites choses qui en font des grandes. De l'autre coté de la rivière silencieuse, un faon, tu vois trois des lutins danseurs s'amuser à le monter, tu prends pitié de la pauvre bête qui l'air apeuré par les farceurs se pétrifie. « Laissez le donc ! » mais on ne dicte rien au Korrigans et ils continuent leur fête, pour qu'au final le faon s'habitue à la bêtise. La malice des lutins dans ce bois t'attire et te donne envie de les suivre, de danser avec eux. Sur les conseils des Jetins tu ne les suis pas et reste à attendre qu'un poisson morde au fil que tu tends dans l'eau clair. Tu t'y tremperais bien, mais cela ferait fuir ton repas, alors tu ne t'y risque pas. À peine âgé de huit ans tu te considère homme et tu aide les plus vieux des lutins à faire les corvées que les plus jeunes se passent bien de faire. Tu aimes entendre ton histoire de leur bouche, entendre de ces voix rauques et étranges conter la manière dont ils t'ont arraché du berceau et surtout leur surprise quand ils ont vu tes parents s'en aller sans mots ni larmes. Parfois tu penses à une autre vie, celle que tu aurais mené s'ils ne t'avaient pas pris, puis tu repenses que tes parents n'ont rien demandé et tu en conclus qu'ils ne voulaient pas de toi. Alors tu continue d'entendre cette histoire, tu reconstitues la vraie, car les anecdotes mensongères des lutins ne sont jamais les mêmes.  

Tu sens une résistance et la corde dans l'eau commence à vouloir s'échapper, au bout, un être argenté, brillant au soleil tente de s'en détacher. Les Jetins tout joyeux et enfantin, comme toi d'ailleurs, tirent sur la ficelle et ramène le poisson. Tu le détaches pour le mettre avec les autres, ce soir c'est fête. Vous pêchez beaucoup pour, plus tard, manger beaucoup. Car ce soir c'est ton anniversaire, et tu sais que vous allez danser tout au long de la nuit, jouer à cache-cache dans les bois et les champs de pierres, rire et chanter. Tout sera plus joyeux encore qu'à l'habitude et le village entendra vos rires et vos chansons, et tout sera simple car tu t'es toujours donné la peine d'y croire.

Les bruits des épées de bois qui s'entrechoquent, le bruits des boucliers qui se percutent et des flèches qui arrivent droites dans leurs cibles. Tu étais à Dashtikazar, habillé de cuir trop peu souple à ton avis. Tu avais laissé derrière toi ta famille de lutins et tes amis du comté. Tu avais suivi naïvement un homme habillé d'une armure turquoise qui t'avais proposé de devenir écuyer. Ne sachant pas ce qu'il était, tu n'as pas pris le temps de penser. Tu ne pouvais même pas demander à l'ermite mort un peu plus tôt dans l'année. Tu avais juste un choix soudain à faire et tu n'étais pas sur d'avoir fait le bon. Tu te retrouvais au milieu d'enfants teigneux qui avaient plus ou moins ton âge et qui ne savaient rien respecter sinon leur épée. Ils te trouvaient bien étrange tous, ils te trouvaient bien trop fragile. Pourtant tu n'étais pas moins fort qu'eux à l'épée, peut-être même meilleur, car plus agile. Pour leurs prouver que tu n'étais pas moins bon, en plus de cela, tu te targuais d'avoir été élevé par des Jetins. Alors on ne te prenait pas plus au sérieux qu'avant, mais un autre écuyer s'y était intéressé. Tu as alors connu Gwenael, un enfant plus vieux que toi et plein de bon sens. Il était arrivé avant toi, et t'apprenait à tenir correctement l'épée, alors que les autres dormaient. Vous passiez votre temps ensemble quand vous n'aviez pas d’entraînement et cet autre écuyer, ce Gwenael, est devenu au fil du temps et des échanges de coups, ton meilleur ami. Vous vous étiez fait la promesse de devenir frère d'arme une fois chevalier. Une fois devenu homme, mais tu n'étais qu'un gosse de dix-sept années et pas plus, tu faisais des promesses sans y penser. Quand tu regardais ton ami, tu y voyais un frère et tu lui aurais promis la lune.

Tu étais pris de nausées, l'odeur de putréfaction t'avais pris à la gorge et dans un réflexe d'enfant, tu avais trouvé refuge derrière le chevalier que tu suivais au long de ton entraînement. Tu ne l'aimais pas particulièrement, pourtant tu savais qu'il était un homme bon, en tout cas, pas mauvais. Il était celui qui t'avais amené à la capital. Celui qui t'avais amené à la vie humaine et fait quitter les fêtes dans les bois. Il se chargeait de l'ordre du pays d'Ys, c'est pourquoi tu t'es retrouvé dans un lieu effrayant et glauque. Un lieu qu'occupent les malfrats et les mauvaises personnes quand ils n'ont plus d'endroits où aller. La mains sur le pommeau de ton épée, les nerfs à vifs, tu observais tout, de peur d'être surpris. Tu ne savais pas si tu allais courir lâchement vers la sorti et retourner sur ton cheval ou rester et aider au combat s'il avait lieu. La réponse, aussi étrange soit-elle, est que tu es d'abord resté quand tu as vu devant vous deux hommes. Tu as pris ton courage à deux mains et serrait la fusée de ton épée, caressant du bout des doigts le quillon, pour ne pas laisser paraître la peur qui parcourait tes membres. Tu avançais, derrière ton maître et tu sentis quelque chose craquer sous tes pieds, un rat. Déjà mort à en voir les larves qui le rongeaient. Tu préférais lever la tête et regarder devant toi, regarder un dos turquoise et froid. Le mouvement brusque de ce dos te fis reculer, ils avaient engagé le combat et toutes armes dégainées, tu as suivis. Pourtant ils étaient deux sur le chevalier et pas un ne s'approchait de l'écuyer, ils devaient te considérer comme un problème mineur. Tu as foncé, comme tu l'as appris avec Gwenael, tu as commencer avec un coup d'estoc sur le premier et sans ménagement tu as tuer l'homme qui était trop concentrer sur ton maître. Ce dernier ne t'adressa pas un regard et continua sa lute contre l'autre. Tu vis au loin dans la grotte, briller du métal. Une pointe, un arc et un homme ensuite c'était dessiné. « Monsieur... » tu le voyais en train de lutter contre le brigand et tu dirigeas à nouveau ton regard sur l'archer, mais il avait disparu. « Monsieur, il y a un archer. » tu rasais le mur vers le fond et tu entendis un grognement de douleur, surpris tu regardas et vis le malfrat étendu au sol. Ton maître dans son imbécillité rengaina son épée. « Monsieur, il y a un archer. » tu répétais, plus fort, ayant pris conscience qu'il n'avait pas entendu. Il te regarda enfin et tu as entendu, avant de voir, une flèche fuser et heurter un obstacle. Le chevalier que tu suivais depuis six ans et demi était là, gisant au sol. Tu n'as pas réfléchi et tu as couru vérifier que l'homme n'était pas mort, mais il l'était bien. Tu as entendu une flèche siffler près de ta tête, tu as alors pris le bouclier qui servait autrefois à ton maître et tu as foncé sur l'archer qui s'était rapproché. Une fois à hauteur, il ne pouvait plus rien faire avec un arc, sa dague ne fut pas dégainée assez vite, car tu t’empressas de l'empaler sur ta lame. Fou de rage et de honte, d'avoir tuer deux hommes et n'avoir pas su en sauver un, tu es parti prévenir la confrérie, puis tu as rendu l'épée qu'on t'avait donné. Tu t'es rendu compte assez tôt que la vie chevaleresque n'était pas faite pour toi, que tu n'en partageais aucune valeur et que tu n'y prenais du plaisir qu'en présence de ton ami. Mais cette fois là, tu n'en voulais vraiment plus, cette épée tu ne voulais plus la voir. Cette confrérie, tu aurais à faire avec elle encore, tu le savais, mais plus en temps qu'écuyer et encore moins en chevalier.

Alors comme ça, tu as fini ta fiche et tu viens de passer l'épreuve de la validation avec brio ! comme dis plus haut, j'ai beaucoup aimé ta fiche, son histoire avec les jetins et la confrérie, j'ai hâte de voir l'évolution   .

Maintenant que ça, c'est fait, tu as encore quelques petites choses à compléter. D'abord, je te conseille d'aller vérifier le bottin des avatars histoire d'être sûr(e) que ta petite tête a bien été rajoutée. Si ce n'est pas fait, n'hésite pas à mpotter un des admins ! Ensuite, dirige-toi vers le recensement des emplois, obligatoire pour tout le monde et, si ton personnage est concerné, le recensement des créatures magiques et celui des étrangers. Ensuite, tu n'as plus qu'à faire ta fiche de liens et, éventuellement, ton journal de bord, et peut-être un ou deux scénarios, non ?

Je crois que tout est dit ! Bon jeu sur AR GÊR A IZ